Les incidences du régime matrimonial pour le chef d’entreprise

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Les incidences du régime matrimonial

Le régime matrimonial détermine la composition du patrimoine de chaque époux en actif et en passif. Il règle le pouvoir de chacun sur leur patrimoine respectif (cf. notion de biens propres et de biens communs). Il est essentiel d’en connaître le mécanisme de base pour comprendre la logique de la transmission à titre gratuit de la société.

Sous un régime séparatiste, les droits sociaux sont la propriété du seul chef d’entreprise.

En revanche, dans les régimes communautaires, la plupart des biens sont communs aux époux.

La date d’acquisition de l’entreprise est également primordiale :

  • acquis avant le mariage, les droits sociaux sont des biens propres ;
  • acquis pendant le mariage, les droits sociaux sont :
    • des biens communs si les époux sont mariés sous un régime communautaire ;
    • des biens propres s’ils ont opté pour un régime séparatiste (ou indivis en cas d’acquisition conjointe).

En principe, au sein du couple marié :

  • l’accord du conjoint est requis pour la cession des droits sociaux communs ;
  • les droits sociaux appartenant en propre à l’un des conjoints sont librement cessibles.

Si le conjoint est hors d’état de manifester sa volonté, ou s’il s’oppose à la cession sans que sa décision soit justifiée par l’intérêt de la famille, le juge peut autoriser le dirigeant à passer l’acte. L’acte de cession est opposable à l’époux dont le concours ou le consentement a fait défaut, sans qu’il en résulte à sa charge d’obligations personnelles.

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Les crédits d’impôt pour l’entreprise

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Les crédits d’impôt pour l’entreprise

Le crédit d’impôt permet de réduire directement l’impôt dû, après application d’éventuelles réductions d’impôt. Si son montant est supérieur à celui de l’impôt, l’administration fiscale rembourse la différence.

 

 

Quelques exemples :

  • Les investissements réalisés en outre-mer ouvrent droit à une réduction ou un crédit d’impôt.
  • L’investissement dans des entreprises en Corse ouvre droit à un crédit d’impôt.
  • L’investissement dans la recherche ouvre droit à un crédit d’impôt.
  • Crédit d’impôt pour la formation du chef d’entreprise
    Les entreprises imposées d’après leur bénéfice réel ou exonérées en application des articles 44 sexies, 44 sexies A, 44 octies A, 44 terdecies à 44 septdecies peuvent bénéficier d’un crédit d’impôt égal au titre des dépenses engagées pour la formation du chef d’entreprise. Ce dispositif s’applique aux heures de formation effectuées jusqu’au 31 décembre 2024.

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Prime de partage de la valeur et prime de partage de la valorisation de l’entreprise

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Vous pouvez déduire du bénéfice imposable de l’entreprise les sommes versées au titre des versements unilatéraux.

De plus, les sommes versées par l’entreprise au titre de la PPV sont exonérées de cotisations sociales et peuvent être exonérées de CSG et/ou de CRDS (sous conditions d’effectif de l’entreprise et de rémunération du salarié bénéficiaire). Par ailleurs, pour les entreprises employant plus de 250 salariés, le forfait social est dû.

Concernant la PPVE, les primes versées au cours des exercices 2026 à 2028 sont exonérées de cotisations sociales mais soumises à la CSG et à la CRDS lors de leur versement. Elles sont également soumises à une contribution d’assurance vieillesse au taux de 20 %.

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Les BSA et leur fiscalité…

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Les bons de souscription d’actions (BSA) sont des instruments financiers qui permettent de souscrire un nombre d’actions déterminé à un prix fixé à l’avance (prix d’exercice) et pendant une période définie. Le prix d’exercice des BSA est fixé dès l’émission de ces bons et celui-ci reste constant pendant toute la période de souscription.

Le bon de souscription fait l’objet d’une cotation distincte. Son cours évolue en fonction des anticipations des investisseurs sur le cours de l’action.

Le bon se caractérise par :

  • son prix d’exercice : prix à payer pour acquérir l’action nouvelle ;
  • sa parité de souscription : le nombre d’actions auquel donne droit un bon ;
  • sa durée de vie.

L’avantage pour l’investisseur de détenir un bon de souscription est de conserver une position d’attente. Si le cours de l’action monte, le bon lui permettra de souscrire de nouvelles actions à un prix inférieur au cours du marché. Inversement, si le cours de l’action baisse, il ne souscrira pas de nouvelles actions aux conditions qui lui sont offertes et revendra éventuellement le bon.

Quelles conséquences pour l’entreprise ?

Lorsque les bons de souscription d’actions BSA sont exercés, cela donne lieu à une augmentation de capital pour la société émettrice. Celle-ci va émettre des actions nouvelles et ainsi recevoir les fonds anticipés lors de l’émission des bons de souscription d’actions BSA. Cette augmentation de capital entraine une dilution du pouvoir et des dividendes au profit des actionnaires.

Quelle est la fiscalité ?

Deux types de plus-values sont possibles en matière de BSA :

  • Les plus-values de cession des BSA ; et
  • Les plus-values de cession des actions issues de l’exercice des BSA.

Se pose la question de savoir quelle est la fiscalité de ces plus-values.

Le principe

En principe, ces deux types de plus-values sont imposables dans la catégorie des plus-values de valeurs mobilières. Il n’existe pas de régime spécifique d’imposition pour les titulaires de BSA.

Cela signifie donc qu’elles seront soumises au prélèvement forfaitaire unique de 30%, ou, sur option, au barème progressif de l’impôt sur le revenu.

Dans ce second cas, les abattements pour durée de détention ne s’appliqueront qu’aux plus-values de cession des actions issues de l’exercice des bons. Cela signifie donc qu’en cas de cession directe des BSA, les abattements pour durée de détention ne peuvent pas s’appliquer en cas d’option pour l’IR.

Y a t’il un risque de requalification ?

Cependant, il existe un risque de requalification en rémunération professionnelle. En effet, les BSA n’étant pas un outil spécifiquement destiné à l’intéressement des salariés au capital (contrairement aux actions gratuites, stock-options et BSPCE), l’administration fiscale se réserve le droit, dans certaines circonstances, de requalifier le gain réalisé par les bénéficiaires de BSA et de le taxer non pas dans la catégorie des plus-values sur valeurs mobilières mais dans celle correspondant effectivement à la nature de l’opération réalisée.

Un tel risque existe lorsque l’administration fiscale parvient à démontrer que les BSA ont été attribués aux bénéficiaires en leur qualité de salariés ou de dirigeants (et non en leur qualité d’investisseurs en capital) et que le gain provenant de la cession des BSA ou des actions issues de leur exercice résulte directement de l’activité qu’ils ont personnellement déployée dans la société, activité qui a contribué à la valorisation des titres.

Plus généralement, il y a un risque de requalification lorsque les BSA ont été octroyés à leurs bénéficiaires à des conditions préférentielles. C’est le cas des BSA émis pour une valeur que les parties ont délibérément minorée, sans que cette minoration comporte de contrepartie, l’avantage ainsi octroyé étant occulte (TA Montreuil, 17/03/2014 n° 1206559 et 1206555).

Par conséquent, si l’opération est requalifiée, l’imposition est, dans ce cas, effectuée au barème progressif de l’impôt sur le revenu :

  • soit dans la catégorie des traitements et salaires (ou dans celle de l’article 62 du CGI), si la prestation rendue en contrepartie de l’offre des BSA peut être rattachée à l’exécution d’un contrat de travail ou à l’exercice de fonctions dirigeantes dont la rémunération est imposable dans la catégorie des traitements et salaires (ou dans celle de l’article 62) ;
  • soit dans la catégorie des bénéfices non commerciaux, lorsque l’avantage a pour contrepartie une activité déployée à titre personnel ;
  • soit en tant que revenu distribué, si l’avantage consenti est occulte, ou résulte d’un acte de gestion anormal de la société, ou a pour effet de porter la rémunération totale du bénéficiaire à un montant exagéré.
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Indemnités en cas de rupture conventionnelle

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Indemnités en cas de rupture conventionnelle

L’employeur et le salarié peuvent convenir en commun des conditions de la rupture du contrat de travail qui les lie dans le cadre d’une « rupture conventionnelle« . Elle résulte d’une convention signée par les parties au contrat.

La rupture conventionnelle permet à l’employeur et au salarié en CDI de convenir d’un commun accord des conditions de la rupture du contrat de travail qui les lie. La rupture conventionnelle peut être individuelle ou collective. Elle est possible sous conditions et indemnisation.

 

 

Cas d’interdiction de la rupture conventionnelle

La rupture conventionnelle individuelle est interdite dans les cas suivants :

  • Elle est conclue dans des conditions frauduleuses ou en l’absence d’accord conclu entre le salarié et l’employeur
  • Elle est proposée dans le cadre d’un accord collectif de gestion prévisionnelle des emplois et des compétences (GPEC) ou d’un plan de sauvegarde de l’emploi (PSE)
  • Elle est proposée dans le cadre d’un accord collectif portant rupture conventionnelle collective
  • La procédure de rupture conventionnelle vise à contourner les garanties prévues pour le salarié en matière de licenciement économique

 

Quelle est la fiscalité ?

Une fraction des indemnités versées à l’occasion de la rupture conventionnelle du contrat de travail d’un salarié est exonérée lorsque le salarié n’est pas en droit de bénéficier d’une pension de retraite d’un régime légalement obligatoire.

La fraction exonérée correspond au plus élevé des 3 montants suivants :

  • le montant prévu par la convention collective de branche, par l’accord professionnel ou interprofessionnel ou, à défaut, par la loi,
  • ou, dans la limite de 6 fois le plafond annuel de la Sécurité sociale (PASS)  :
    • 50 % du montant de l’indemnité,
    • ou 2 fois le montant de la rémunération annuelle brute perçue par le salarié concerné au cours de l’année civile précédant la rupture de son contrat de travail.

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Les dividendes perçus par les TNS

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La loi dispose que certains dividendes perçus par les TNS sont soumis à cotisations sociales.

les dividendes perçus par les travailleurs indépendants non agricoles, l’article L. 131-6, III.2° du code de la sécurité sociale prévoit que « les cotisations de sécurité sociale dues par les travailleurs indépendants non agricoles » comprennent « la part des revenus mentionnés aux articles 108 à 115 du même code (CGI) perçus par le travailleur indépendant non agricole, son conjoint ou le partenaire auquel il est lié par un pacte civil de solidarité ou leurs enfants mineurs non émancipés […] qui est supérieure à 10 % du capital social et des primes d’émission et des sommes versées en compte courant détenus en toute propriété ou en usufruit par ces mêmes personnes. »

L’assujettissement d’une partie des dividendes et intérêts des comptes courants d’associés aux cotisations sociales concerne (c. séc. soc. art. L. 131-6, III.2°) :

  • depuis le 1er janvier 2009, les dirigeants et associés de SEL qui exercent une activité non salariée et relèvent, à titre obligatoire, d’un régime de protection sociale des travailleurs indépendants non agricoles ;
  • et depuis le 1er janvier 2013, certains dirigeants de sociétés soumises à l’IS dès lors qu’ils relèvent, à titre obligatoire, du régime de protection sociale des travailleurs indépendants non agricoles (par exemple, les gérants majoritaires de SARL ou associés uniques d’EURL exerçant leur activité professionnelle dans l’entreprise).
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SCI pour détenir l’immobilier professionnel ?

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Est-il préférable que l’entreprise acquiert son patrimoine immobilier directement ou par l’intermédiaire d’une société civile immobilière ?

En cas d’acquisition par la société d’exploitation soumise à l’impôt sur les sociétés (IS), elle pourra déduire de son résultat imposable les intérêts versés pour le remboursement de l’emprunt ainsi que les amortissements pratiqués sur le bien immobilier.

En cas d’acquisition par une SCI, l’avantage majeur est la séparation entre le patrimoine privé et le patrimoine professionnel. La société, qui louera le bien immobilier à la société d’exploitation du chef d’entreprise, pourra déduire les intérêts afférents à un éventuel emprunt immobilier. Si la société est assujettie à l’IR, les bénéfices réalisés par la société (notamment les loyers) seront imposés au nom de chaque associé, à raison de la part des résultats sociaux qu’ils détiennent et suivant le régime fiscal qui leur est applicable. Si la société est assujettie à l’IS, les bénéfices seront imposés au taux de droit commun de l’IS.

 

 

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L’immobilier d’entreprise … et ses implications !

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La détention d’actifs immobiliers par les entreprises est une pratique courante qui peut servir de levier financier, de siège social ou de source de revenus. Cependant, cette détention est soumise à diverses réglementations fiscales et obligations comptables qui doivent être prises en compte pour une gestion efficace des biens immobiliers.

Tout d’abord, lorsqu’une entreprise acquiert un bien immobilier, elle est soumise à des impôts et des frais associés à la transaction. Cela peut inclure les droits de mutation (ou frais de notaire), ainsi que la taxe foncière annuelle. Ces coûts varient en fonction de la localisation du bien et de sa valeur, et doivent être budgétisés lors de l’acquisition.

Une fois que l’entreprise détient le bien immobilier, elle doit également prendre en compte les implications fiscales liées à la propriété. La valeur de l’immobilier est souvent comptabilisée dans les états financiers de l’entreprise, et des ajustements périodiques peuvent être nécessaires pour refléter les fluctuations de valeur du marché. De plus, l’entreprise doit payer la taxe foncière annuelle, qui est calculée en fonction de la valeur locative cadastrale du bien.

Si l’entreprise loue le bien immobilier à des tiers, elle perçoit des revenus locatifs qui sont imposables. Ces revenus doivent être déclarés dans les déclarations de revenus de l’entreprise, et ils peuvent être soumis à l’impôt sur les sociétés. Cependant, des déductions fiscales sont généralement disponibles pour les dépenses liées à la gestion et à l’entretien du bien, telles que les frais de gestion, les travaux de réparation et les intérêts d’emprunt.

En cas de vente du bien immobilier, l’entreprise est également soumise à l’impôt sur les plus-values immobilières. La fiscalité va dépendre de taxation de la société : société à l’IR ou à l’IS. La plus-value réalisée lors de la vente est calculée comme la différence entre le prix de vente et la valeur comptable du bien, ajustée pour tenir compte des frais de cession et des améliorations apportées au bien.

En matière d’IFI, les biens immobiliers professionnels sont exonérés de l’IFI.

En résumé, la détention d’actifs immobiliers par une entreprise comporte des implications fiscales importantes qui doivent être prises en compte dans la gestion et la planification financière de l’entreprise. Comprendre les obligations fiscales associées à la détention, à la location et à la vente de biens immobiliers est essentiel pour maximiser la rentabilité et minimiser les risques pour l’entreprise.

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Télécharger nos guides pendant les congés …

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Télécharger nos guides pendant les congés …

Retrouver nos guides concernant la fiscalité en cas d’expatriation, en matière d’IFI, celle du chef d’entreprise et enfin concernant le sujet des stock-options … à télécharger cet été !

Le Guide Expatriation 

Le guide fiscal expatriation (décliné en 3 versions : général pour tous les pays et spécifique pour le UK et le Portugal, choix que vous pourrez faire après votre paiement) vous apporte les réponses aux questions fiscales que vous vous posez qu’il s’agisse d’un projet de départ, ou durant votre séjour, ou encore pour un prochain retour en France.

Ce guide peut être complété avec tous les formulaires nécessaires à votre projet (formulaires fiscaux, sociaux, attestations, …).

Dans ce guide, vous trouverez des informations essentielles et des conseils pratiques pour :

📝 Préparer votre expatriation en toute sérénité, en anticipant les démarches administratives et fiscales nécessaires

🌆 Faciliter votre intégration dans votre nouveau pays d’accueil

🛫 Gérer efficacement votre patrimoine financier et immobilier pendant votre expatriation, afin d’optimiser votre situation fiscale

🏡 Organiser votre retour en France en toute tranquillité, en tenant compte des aspects fiscaux, sociaux et professionnels

Que vous soyez un(e) futur(e) expatrié(e) en quête d’aventure ou un(e) expatrié(e) souhaitant préparer votre retour au pays, notre guide vous fournira les conseils et les ressources nécessaires pour réussir cette transition en douceur.

https://www.joptimiz.com/guide-expatriation.php

 

Le guide IFI 

Ce guide fiscal réalisé avec notre partenaire Joptimiz.com vous apporte les réponses aux questions fiscales que vous vous posez qu’il s’agisse la valorisation de vos biens (titres, immobilier, entreprise,…), de la méthode de déclaration (formulaires, calcul de la base, calcul de l’impôt, plafonnement …) et des schémas d’optimisation.

Dans ce guide, vous trouverez donc des explications claires et des conseils pratiques pour :

🔍 Comprendre les mécanismes de l’IFI

💼 Évaluer votre patrimoine immobilier

💡 Maximiser les possibilités de réduction d’IFI

📝 Remplir votre déclaration fiscale en toute sérénité

Que vous soyez un investisseur chevronné ou un néophyte dans le domaine, notre guide vous accompagnera pas à pas pour vous permettre de prendre des décisions éclairées et de gérer efficacement votre patrimoine immobilier.

https://www.myimmobilier.com/guide_IFI.php 

 

Le Guide Chef d’entreprise 

Le guide fiscal Chef d’entreprise vous apporte les réponses aux questions fiscales que vous vous posez qu’il s’agisse de la cession de votre société (les différents régimes, les régimes spéciaux …) ou de sa transmission et des schémas d’optimisation.

Dans ce guide, vous trouverez des informations claires et des conseils pratiques pour :

📈 Comprendre les implications fiscales de la cession ou de la transmission d’une entreprise

🔍 Explorer les différentes options pour minimiser votre charge fiscale

💼 Optimiser la gestion fiscale de votre entreprise au quotidien

💡 Anticiper les changements législatifs et les réformes fiscales à venir

Que vous soyez en phase de création, de croissance ou de transmission d’entreprise, notre guide vous fournira les outils nécessaires pour prendre des décisions éclairées et maximiser la rentabilité de votre activité.

https://www.joptimiz.com/guide-transmission-chef-d-entreprise.php

 

Le guide Stock-options, actions gratuites, BSPCE 

Le guide fiscal Stock-options, Actions gratuites et BSPCE vous apporte les réponses aux questions fiscales que vous vous posez quant à vos stock-options, BSPCE et/ou actions gratuites (AGA) et aux schémas d’optimisation.

Ce guide peut être complété par l’accès à l’ensemble des réponses les plus fréquentes sur le sujet.

Dans ce guide, vous trouverez des explications claires et des conseils pratiques pour :

📈 Comprendre le fonctionnement des stock-options, des actions gratuites et des BSPCE

🔍 Évaluer l’impact fiscal de ces dispositifs sur votre patrimoine

💼 Optimiser la gestion fiscale de vos investissements en fonction de votre profil et de vos objectifs

💡 Anticiper les évolutions législatives et les stratégies fiscales les plus avantageuses

Que vous soyez un salarié bénéficiant de stock-options, un dirigeant distribuant des actions gratuites ou une entreprise proposant des BSPCE à ses collaborateurs, notre guide vous fournira les clés nécessaires pour maitriser les avantages fiscaux de ces dispositifs.

https://www.joptimiz.com/guide-stock-option.php

 

Bonnes vacances !

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Nos services sont fermés …

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Nos services sont fermés jusqu’au 1 août .

Nous vous souhaitons d’agréables vacances.

A très bientôt …

L’équipe Joptimiz

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