Les BSA et leur fiscalité…

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Les bons de souscription d’actions (BSA) sont des instruments financiers qui permettent de souscrire un nombre d’actions déterminé à un prix fixé à l’avance (prix d’exercice) et pendant une période définie. Le prix d’exercice des BSA est fixé dès l’émission de ces bons et celui-ci reste constant pendant toute la période de souscription.

Le bon de souscription fait l’objet d’une cotation distincte. Son cours évolue en fonction des anticipations des investisseurs sur le cours de l’action.

Le bon se caractérise par :

  • son prix d’exercice : prix à payer pour acquérir l’action nouvelle ;
  • sa parité de souscription : le nombre d’actions auquel donne droit un bon ;
  • sa durée de vie.

L’avantage pour l’investisseur de détenir un bon de souscription est de conserver une position d’attente. Si le cours de l’action monte, le bon lui permettra de souscrire de nouvelles actions à un prix inférieur au cours du marché. Inversement, si le cours de l’action baisse, il ne souscrira pas de nouvelles actions aux conditions qui lui sont offertes et revendra éventuellement le bon.

Quelles conséquences pour l’entreprise ?

Lorsque les bons de souscription d’actions BSA sont exercés, cela donne lieu à une augmentation de capital pour la société émettrice. Celle-ci va émettre des actions nouvelles et ainsi recevoir les fonds anticipés lors de l’émission des bons de souscription d’actions BSA. Cette augmentation de capital entraine une dilution du pouvoir et des dividendes au profit des actionnaires.

Quelle est la fiscalité ?

Deux types de plus-values sont possibles en matière de BSA :

  • Les plus-values de cession des BSA ; et
  • Les plus-values de cession des actions issues de l’exercice des BSA.

Se pose la question de savoir quelle est la fiscalité de ces plus-values.

Le principe

En principe, ces deux types de plus-values sont imposables dans la catégorie des plus-values de valeurs mobilières. Il n’existe pas de régime spécifique d’imposition pour les titulaires de BSA.

Cela signifie donc qu’elles seront soumises au prélèvement forfaitaire unique de 30%, ou, sur option, au barème progressif de l’impôt sur le revenu.

Dans ce second cas, les abattements pour durée de détention ne s’appliqueront qu’aux plus-values de cession des actions issues de l’exercice des bons. Cela signifie donc qu’en cas de cession directe des BSA, les abattements pour durée de détention ne peuvent pas s’appliquer en cas d’option pour l’IR.

Y a t’il un risque de requalification ?

Cependant, il existe un risque de requalification en rémunération professionnelle. En effet, les BSA n’étant pas un outil spécifiquement destiné à l’intéressement des salariés au capital (contrairement aux actions gratuites, stock-options et BSPCE), l’administration fiscale se réserve le droit, dans certaines circonstances, de requalifier le gain réalisé par les bénéficiaires de BSA et de le taxer non pas dans la catégorie des plus-values sur valeurs mobilières mais dans celle correspondant effectivement à la nature de l’opération réalisée.

Un tel risque existe lorsque l’administration fiscale parvient à démontrer que les BSA ont été attribués aux bénéficiaires en leur qualité de salariés ou de dirigeants (et non en leur qualité d’investisseurs en capital) et que le gain provenant de la cession des BSA ou des actions issues de leur exercice résulte directement de l’activité qu’ils ont personnellement déployée dans la société, activité qui a contribué à la valorisation des titres.

Plus généralement, il y a un risque de requalification lorsque les BSA ont été octroyés à leurs bénéficiaires à des conditions préférentielles. C’est le cas des BSA émis pour une valeur que les parties ont délibérément minorée, sans que cette minoration comporte de contrepartie, l’avantage ainsi octroyé étant occulte (TA Montreuil, 17/03/2014 n° 1206559 et 1206555).

Par conséquent, si l’opération est requalifiée, l’imposition est, dans ce cas, effectuée au barème progressif de l’impôt sur le revenu :

  • soit dans la catégorie des traitements et salaires (ou dans celle de l’article 62 du CGI), si la prestation rendue en contrepartie de l’offre des BSA peut être rattachée à l’exécution d’un contrat de travail ou à l’exercice de fonctions dirigeantes dont la rémunération est imposable dans la catégorie des traitements et salaires (ou dans celle de l’article 62) ;
  • soit dans la catégorie des bénéfices non commerciaux, lorsque l’avantage a pour contrepartie une activité déployée à titre personnel ;
  • soit en tant que revenu distribué, si l’avantage consenti est occulte, ou résulte d’un acte de gestion anormal de la société, ou a pour effet de porter la rémunération totale du bénéficiaire à un montant exagéré.
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Micro-entrepreneur : la date limite pour l’option pour le versement forfaitaire libératoire est le 30 septembre

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Micro-entrepreneur : la date limite pour l’option pour le versement forfaitaire libératoire est le 30 septembre

Pour bénéficier du versement libératoire de l’impôt sur le revenu pour les revenus perçus à compter de l’année 2024, le micro-entrepreneur devra en faire la demande avant le 30 septembre 2023.

L’option doit être adressée aux organismes sociaux dont l’entrepreneur dépend territorialement.

Pour rappel, l’option pour le versement libératoire ne peut s’exercer que sous certaines conditions. Elle est ainsi réservée aux micro-entrepreneurs dont le revenu fiscal de référence (RFR) du foyer fiscal de l’année N-2 (donc 2022 pour les revenus 2024) ne dépasse pas un certain seuil :

  • 27 478 € pour une personne seule ;
  • 54 956 € pour un couple (deux parts) ;
  • 82 434 € pour un couple avec deux enfants (trois parts).

Ce montant est majoré de 50 % par demi part ou de 25 % par quart de part supplémentaire.

En cas de modification du foyer fiscal entre N-2 et N (mariage, naissance, divorce), on regarde la situation du foyer fiscal en N-2. Autrement dit, si le micro-entrepreneur était marié en 2022, mais qu’il est désormais divorcé, on retient le seuil de 54 956 €. Par exception, lorsque l’exploitant était rattaché au foyer fiscal de ses parents en N-2, il est admis que seuls ses revenus soient pris en compte.

 

De la part de www.joptimiz.com, assistance fiscale en ligne

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Bien gérer les règles civiles de la transmission de son entreprise

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Optimiser la transmission de son entreprise peut passer par différentes techniques, qu’elles soient fiscales (mais pas que), civiles ou statutaires. Il est important dans un premier temps de réaliser un bilan patrimonial afin d’anticiper et d’optimiser les conséquences fiscales des opérations concernant votre entreprise.

L’anticipation et la préparation de la transmission de l’outil peuvent tout d’abord être une question civile :

 modifier son contrat de mariage en adoptant par exemple la communauté universelle permet de mieux protéger son épouse ; une autre solution consiste à ne mettre en commun que votre entreprise grâce à la société d’acquêt ;

 mettre en place un mandat de protection future, confiant ainsi à un mandataire le soin de représenter le chef d’entreprise pour le cas où il ne pourrait plus pourvoir seul à ses intérêts (en cas de risque d’incapacité par exemple);

 mettre en place un mandat posthume pour de son vivant missionner une personne de confiance chargée d’administrer ou de gérer à son décès l’entreprise si par exemple l’héritier est très jeune;

 organiser un pacte de famille pour organiser les relations entre la famille et l’entreprise, de façon à régler la succession du chef d’entreprise et à assurer la pérennité de l’entreprise.

 utiliser la renonciation anticipée à l’action en réduction si vous avez par exemple un seul enfant qui souhaite reprendre l’activité et qu’il existe plusieurs héritiers.

Tous cela nécessite naturellement l’accompagnement du Notaire ou de l’avocat.

De la part de www.joptimiz.com

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Exonération des plus-values professionnelles dans le cadre du départ à la retraite

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Exonération des plus-values professionnelles dans le cadre du départ à la retraite

Lors de la cession de votre entreprise, les plus-values que vous réaliserez seront soumises au régime des plus-values professionnelles

Cependant, les plus-values professionnelles, autres que les plus-values portant sur des immeubles bâtis ou non ou des titres de société à prépondérance immobilière, réalisées depuis le 1er janvier 2006 dans le cadre d’une activité commerciale, industrielle, artisanale, libérale ou agricole, sont exonérées lorsque les conditions suivantes sont réunies :

  • l’activité doit avoir été exercée pendant au moins 5 ans ;
  • la cession :
    • est réalisée à titre onéreux,
    • porte sur une entreprise individuelle ou sur l’intégralité des droits ou parts détenus par un contribuable qui exerce son activité professionnelle dans le cadre d’une société ou d’un groupement dont les bénéfices sont soumis en son nom à l’impôt sur le revenu ;
    • dans les 2 années suivant ou précédant la cession, le cédant doit cesser toute fonction dans l’entreprise cédée et faire valoir ses droits à la retraite ;
    • le cédant ne doit pas détenir, directement ou indirectement, plus de 50 % des droits de vote ou des droits dans les bénéfices sociaux de l’entreprise cessionnaire ;
    • l’entreprise individuelle cédée ou la société ou le groupement dont les droits ou parts sont cédés doit être une PME (cad employer moins de 250 salariés et soit avoir réalisé un chiffre d’affaires annuel inférieur à 50 millions d’euros au cours de l’exercice, soit avoir un total de bilan inférieur à 43 millions d’euros) ; le capital ou les droits de vote de la société ou du groupement dont les droits ou parts sont cédés ne doivent pas être détenus à hauteur de 25 % ou plus par une ou plusieurs entreprises ne répondant pas aux conditions pour être qualifiée de PME.

L’exonération est remise en cause si le cédant vient à détenir, directement ou indirectement, plus de 50 % des droits de vote ou des droits dans les bénéfices sociaux de l’entreprise cessionnaire à un moment quelconque au cours des 3 années qui suivent la réalisation de l’opération ayant bénéficié de l’exonération.

De la part de www.joptimiz.com, assistance fiscale en ligne

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Télécharger nos guides pendant les congés …

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Télécharger nos guides pendant les congés …

Retrouver nos guides concernant la fiscalité en cas d’expatriation, en matière d’IFI, celle du chef d’entreprise et enfin concernant le sujet des stock-options … à télécharger cet été !

Expatriation : https://www.joptimiz.com/guide-expatriation.php

IFI : https://www.joptimiz.com/guide-ISF.php

Chef d’entreprise : https://www.joptimiz.com/guide-transmission-chef-d-entreprise.php

Stock-options, actions gratuites, BSPCE : https://www.joptimiz.com/guide-stock-option.php

Bonnes vacances !

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Nos services sont fermés …

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Nos services sont fermés jusqu’au 1er août . Nous vous souhaitons d’agréables vacances.

A très bientôt …

L’équipe Joptimiz

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Aide à la reprise ou à la création d’entreprise (ARCE)

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Aide à la reprise ou à la création d’entreprise (ARCE)

 Les demandeurs d’emploi indemnisés au titre de l’allocation d’aide au retour à l’emploi (ARE) qui créent ou reprennent une entreprise peuvent bénéficier d’une aide à la reprise ou à la création d’entreprise (ARCE) ou, au choix, du maintien de l’ARE (réduite, dans une certaine proportion, des revenus résultant de la nouvelle activité).

Conditions d’attribution de l’ARCE

Créer ou reprendre une entreprise

L’aide à la reprise ou à la création d’entreprise est accordée à l’allocataire en sa qualité de repreneur ou de créateur d’entreprise. Est considéré comme créateur ou repreneur celui qui détient, personnellement ou avec son conjoint, son partenaire lié par un PACS ou son concubin, ses ascendants et descendants, plus :

  • de la moitié du capital de la société (au moins 35 % à titre personnel s’il s’agit d’une société familiale) ;
  • du tiers du capital s’il est dirigeant, sans que sa part personnelle puisse être inférieure à 35 % de celui-ci (part minimale ramenée à 25 % à condition qu’un autre actionnaire ou porteur de parts ne détienne pas directement ou indirectement plus de la moitié du capital).

Percevoir l’aide au retour à l’emploi (ARE)

Le demandeur doit :

soit percevoir l’aide au retour à l’emploi, ou avoir été admis à en bénéficier (différé d’indemnisation ou délai d’attente) ;

soit être en période de préavis, en congé de reclassement ou en congé de mobilité s’il crée ou reprend une entreprise tandis qu’il est dans le cadre d’une procédure de licenciement.

Bénéficier de l’aide aux créateurs ou repreneurs d’entreprise (ACRE)

L’allocataire créateur ou repreneur d’entreprise doit justifier de l’obtention de l’ACRE. Cette aide consiste en une exonération partielle ou totale de charges sociales pendant un an dès lors que le montant du revenu n’excède pas le montant du PASS.

Le montant de l’aide à la reprise ou à la création d’entreprise est égal à 45 % du montant du reliquat des droits nets restant à verser au bénéficiaire au titre de l’ARE :

  • soit au jour de la création ou de la reprise d’entreprise ;
  • soit, si cette date est postérieure, à la date d’obtention de l’ACRE.

L’aide donne lieu à deux versements égaux :

  • le premier paiement intervient à la date à laquelle l’intéressé réunit l’ensemble des conditions d’attribution de l’aide ;
  • le second paiement intervient 6 mois après la date de création ou de reprise d’entreprise, sous réserve que l’intéressé exerce toujours l’activité au titre de laquelle l’aide a été accordée.

Démarches

Le demandeur d’emploi doit déposer :

  • une demande d’aide aux créateurs ou repreneurs d’entreprise (ACRE) auprès du centre des formalités des entreprises dont il dépend ;
  • une demande d’aide à la création ou à la reprise d’entreprise (ARCE) auprès de l’agence pôle emploi dont il dépend.

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Le crédit d’impôt pour formation du chef d’entreprise

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Le crédit d’impôt pour formation du chef d’entreprise

Le crédit d’impôt permet de réduire directement l’impôt dû, après application d’éventuelles réductions d’impôt. Si son montant est supérieur à celui de l’impôt, l’administration fiscale rembourse la différence.

Il existe de nombreux investissements et dépenses éligibles au crédit d’impôt en faveur des entreprises. Les principaux sont le crédit d’impôt recherche (CIR), le crédit d’impôt innovation (CII), le crédit d’impôt formation pour les dirigeants

Plus particulièrement concernant la formation du chef d’entreprise … Les chefs d’entreprise s’entendent des exploitants individuels, des gérants, des présidents, des administrateurs, des directeurs généraux et des membres du directoire.

Pour être éligibles au crédit d’impôt formation des chefs d’entreprise, les dépenses de formation professionnelle doivent être :

  • engagées dans l’intérêt de l’entreprise,
  • et admises en déduction des bénéfices imposables.

Le crédit d’impôt est égal au produit du nombre d’heures passées par le chef d’entreprise en formation par le taux horaire du SMIC en vigueur au 31 décembre de l’année au titre de laquelle est calculé le crédit d’impôt.

Le crédit d’impôt est plafonné à 40 heures de formation par année civile.

Le crédit d’impôt est imputé sur l’impôt sur le revenu dû par le contribuable au titre de l’année au cours de laquelle les heures de formation ont été suivies par le chef d’entreprise. Si le montant du crédit d’impôt excède l’impôt dû au titre de ladite année, l’excédent est restitué.

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La rémunération des administrateurs et membres du conseil de surveillance : les jetons de présence !

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La rémunération des administrateurs et membres du conseil de surveillance : les jetons de présence !

Les membres du conseil d’administration et du conseil de surveillance sont susceptibles de percevoir 2 catégories de rémunérations qui suivent un régime fiscal distinct.

Ils perçoivent, à titre de rétribution de leur fonctions au sein de ces conseils une rémunération imposable dans la catégorie des revenus de capitaux mobiliers (cette rémunération correspond aux anciens jetons de présence ordinaires, terminologie supprimée à compter du 24 mai 2019 par la loi PACTE).

Les frais et charges supportés par l’administrateur ou le membre du conseil dans son activité au conseil, peuvent venir en déduction de la rémunération perçue sous réserve de pouvoir en justifier la réalité et le montant.

Par ailleurs, ils peuvent percevoir des émoluments s’ils exercent des fonctions salariées de direction au sein de la société (anciens jetons de présence spéciaux), imposables, en principe, cette fois, dans la catégorie des traitements et salaires.

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Préparer la vente de son entreprise

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Préparer la vente de l’entreprise

La vente de votre entreprise n’est pas sans conséquence. Il est donc impératif de bien la préparer.

Il convient de :

  • délimiter le périmètre de la cession (totale, partielle, intrafamiliale, extérieure, etc.) ;
  • définir ses modalités (vente, démembrement de propriété, etc.) et ses conséquences (juridiques, financières, fiscales, etc.) ;
  • vente à prix fixe ou avec une clause d’earn out ?

Le but est de préparer l’entreprise à être transmise, c’est-à-dire définir un « business plan », et pour cela, il faut faire un audit interne de ses forces et faiblesses.

Le cédant doit ainsi notamment recenser les éléments financiers et qualitatifs qui caractérisent l’entreprise dont il envisage la cession :

  • résultats, flux de trésorerie, passés et futurs ;
  • environnement concurrentiel, produits, clients, équipe dirigeante.

Il faut aussi déterminer le bon prix. Pour les entreprises non cotées, il existe de multiples méthodes d’évaluations, basées sur des données actuelles ou futures.

En pratique, les professionnels ont tout intérêt à se baser sur le guide publié par la direction générale des impôts (DGI) en novembre 2006. Le guide recense les méthodes d’évaluation retenues et validées par l’administration fiscale.

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